Colloque avec le Ciel
Sommaire
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Le
14 Juillet 1876
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Le 9 mars 1878
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Le 27 août 1878
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Étrennes de janvier 1885
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Le 15 mai 1919
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Le 15 avril 1920
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Le 27 janvier 1921
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Le 21 avril 1921
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Le 23 juillet 1925
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Le 3 septembre 1925
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Le 23 août 1928
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Le 27 octobre 1931
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Le 28 mars 1931
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Le 2 mars 1933
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Le 19 juillet 1934
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Le 1er Juillet
Le 14 Juillet 1876
Marie-Julie : - Bonne Mère
Immaculée, que faire pour Le consoler, ce doux et tendre Jésus de
nos âmes ?
La Sainte Vierge : - Oh !
L'aimer pour tant d'âmes qui ne L'aiment pas, Lui dire dans la
simplicité de votre coeur :
- Je voudrais vous aimer pour
tant d'âmes qui ne vous aiment pas !
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Le 9 mars 1878
Notre-Seigneur : - Mes enfants, quelques temps avant
que ces signes sinistres se voient sur la Terre, on sentira déjà
dans le coeur l'effet de Ma Justice ; ce sera le coeur qui dira que
l'heure n'est pas éloignée.
- Cependant une grâce de paix
est réservée aux chrétiens fidèles, à ceux qui n'auront pas méprisé
les avertissements du Ciel et y auront conformé leur vie.
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Le 27 août 1878
Voici ce que dit le bon Jésus : -
C'est au pied de cet autel que Je t'apprends chaque jour à m'aimer.
Plus tu m'aimeras sur la Terre, plus tu te rapprocheras de l'union
amoureuse et éternelle. Voilà, bon Saint comment Notre-Seigneur
commence.
- Te donne-t-il l'espérance
prochaine ?
- Oui. Quand II me parle de
l'espérance prochaine, II devient tout rayonnant et son visage
adorable est éclatant de joie et de bonheur.
La Sainte Vierge : - Dans l'attente de ce qui doit
arriver, une inquiétude sera ressentie par tous, signe avant-coureur
de la Justice de Dieu.
Notre-Seigneur : - Mes enfants, quelques temps avant
que ces signes sinistres se voient sur la Terre, on sentira déjà
dans le coeur l'effet de Ma Justice ; ce sera le coeur qui dira que
l'heure n'est pas éloignée.
- Cependant une grâce de paix
est réservée aux chrétiens fidèles, à ceux qui n'auront pas méprisé
les avertissements du Ciel et y auront conformé leur vie.
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Étrennes de janvier 1885
Marie-Julie : - Bien-Aimé, que
ferons-nous pour vous témoigner notre amour ?
Notre-Seigneur : - Ô âme bien aimée, une minute au
pied du crucifix ! Donne-moi trois soupirs que voici :
- Mon Bien-Aimé, je vous aime,
- Mon tendre Père, je vous tiens
compagnie,
- Mon céleste Époux, je désire
le Ciel pour vous voir et vous aimer.
- Voilà les trois demandes du
Coeur d'un Père à notre pauvre âme.
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Le 15 mai 1919
Marie-Julie : -
Pour une intention particulière.
La Très Sainte Vierge : - Mes petits enfants, j'aime à
exercer leur patience pour augmenter leurs mérites et donner les
grâces longtemps après la prière de demande. Persévérez et vous
obtiendrez.
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Le 15 avril 1920
La Très
Sainte Vierge : - Oh ! mes petits enfants, dans le mois prochain
qui me sera consacré, par vos saintes prières, vos ferventes et
saintes communions, j'emmènerai beaucoup d'âmes au Ciel.
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Le 27 janvier 1921
La Très
Sainte Vierge : - Ma chère enfant bien-aimée, je vous promets
d'être partout avec vous, de vous aider, de vous secourir et de vous
assister. Je vous aime tant ! Ma chère enfant bien-aimée, ne
redoutez rien. Satan dans sa fureur cherche partout à faire le mal.
Sa puissance a des limites... et nos protections sont plus
puissantes.
La Très
Sainte Vierge : - Ma chère enfant, j'aime tant vos Ave Maria.
J'aime tant la simplicité de vos demandes ! Demandez beaucoup,
demandez abondamment et nos grâces ne vous seront pas refusées.
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Le 21 avril 1921
Marie-Julie : - Souffrir passe,
avoir souffert ne passe pas.
Le Divin Cœur : - Mes petites
âmes épouses, vos souffrances sont à mes yeux des diamants d'une
beauté qui fait tressaillir mon divin Cœur de joie. Quelle belle
fête au Ciel le beau matin de nos noces éternelles.
Marie-Julie : - J'ai vécu avec
mon crucifix, je veux mourir avec mon crucifix.
- Bénie soit la Sainte et
Immaculée Conception de la Bienheureuse et Immaculée Reine du Ciel,
notre Mère.
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Le 23 juillet 1925
Notre-Seigneur : - II est si
facile de me plaire : la bonne volonté me suffit, votre confiance
dans ma Miséricorde efface tout, pardonne tout, il ne reste plus que
l'amour comme une belle flamme blanche qui monte et descend, c'est
le Bien-Aimé visitant sa bien-aimée, c'est sa bien-aimée visitant
son Bien-Aimé. Voilà pour Moi mon ciel sur la Terre : vos belles
âmes qui réparent et Me dédommagent en Me recevant et en Me
visitant. Mes petites épouses, savez-vous quel Nom J'aime tant ?
Auquel Je souris et mon Père Éternel en est ravi : Père de
Miséricorde, c'est ma joie. Vous me ravissez. C'est mon Nom que
J'aime car Je ne suis que Miséricorde. C'est une joie pour tout le
Ciel. Demandez-moi sous ce beau Nom : " Père de Miséricorde,
donnez-moi, accordez-moi. " Vous sentirez dans vos âmes une grâce
bien douce et pénétrante et J'y joindrai une douce consolation.
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Le 3 septembre 1925
Le Divin Cœur : - Je prends dans
les meilleures familles des petites victimes pour le salut des âmes
que Je veux racheter.
- J'ai partout dans les familles
des petites âmes de salut pour les pécheurs.
Le Divin
Coeur : - Venez à Moi dans la Sainte Eucharistie, J'aime tant le
beau ciel de mes petites âmes. Je m'y repose, Je m'identifie dans
mon Amour. Je suis au large car les bruits du monde ne résonnent pas
dans mes petites âmes. Je vous fais après la Sainte Communion cette
demande, dites-le à mes petites épouses, dites-leur de se reposer
seulement cinq minutes sur mon Coeur palpitant d'amour. Ne pensez
qu'à Moi par cette simple parole : " Merci, mon Bien-aimé, Vous
vivez en moi et Je vis en vous. " Vous verrez combien de douceur
vous goûterez et combien de consolations vous Me donnerez.
-
Demandez-Moi, à la cinquième minute la conversion de mille pécheurs.
Ce sera une grande joie pour mon divin Père, pour le Ciel, Je vous
demande cette même faveur. Je serais là, au-dedans de vous, la bonté
infinie, la splendeur de toutes beautés. Seulement cinq minutes en
pensant à Moi et en me demandant à la cinquième le salut de mille
âmes. Mon divin Coeur déborde de joie à cette demande de grâces et
Je l'accorde également.
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Le 23 août 1928
Paroles de la Sainte Vierge :
- L'abandon à la Sainte Volonté vaut mieux que le désir du Ciel.
- L'abandon à la Sainte Volonté
vaut mieux que le désir du Ciel. Par cet abandon, vous amassez
beaucoup et vos richesses seront éternelles. Continuez, ô âmes,
encore un peu dans la souffrance que veut le céleste Époux pour Lui,
pour Le dédommager, pour réparer, pour adoucir tant d'outrages qui
Le déchirent. Abandonnez-vous à la Sainte Volonté. Demeurez en elle,
souffrez en elle, espérez en elle et vous vous endormirez en elle.
Tant que vous aurez un corps de misère, il vous faudra souffrir,
mais c'est une heure bien courte. Vos souffrances sont d'un grand
prix pour le salut des âmes.
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Le 27 octobre 1931
Le Divin Cœur : - Redites-Moi :
" Salve nos perimus, Domine ! " (3 fois) Sauvez-nous tendre Père,
plein d'amour pour nos justes, car nous périssons, sans l'assistance
d'une merveille de bonté de votre part et de celle de votre Mère.
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Le 28 mars 1931
Le Divin Cœur : - J'ai tant
d'amour, Je ne sais plus à qui le donner. Je le donne à mes petites
âmes dans la souffrance, qui veulent bien faire ma Volonté.
- Il n'y a point de souffrance
sans amour ; il n'y a point d'amour sans souffrance. "
Quand on se
plaint Jésus dit : - S'il
n'y avait point eu de misère, il n'y aurait pas eu de Miséricorde ;
comme Je suis bon, avec un tendre sourire qui a l'air
de dire : - Me comprends-tu ?
Dans la
sainte Communion Marie-Julie a quelquefois des transports d'amour,
par ailleurs, c'est la glace. C'est Notre Seigneur qui fait tous ces
états de froid, d'aridité ou d'amour.
- Il n'y
a qu'un Dieu digne de recevoir un Dieu, pourquoi te tourmenter ?
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Le 2 mars 1933
Les événements ne peuvent pas être
prévus à coup sûr car actuellement la Miséricorde repousse la
Justice et Marie-Julie n'a pas de confidence à ce sujet. Jésus
attend le retour d'un grand nombre d'âmes.
Le Divin Cœur : -
Dans vos craintes, laissez tout le passé, mes petites âmes, à ma
divine Miséricorde et donnez le présent à mon divin Amour.
Marie-Julie : -
Dans les aridités de l'âme on se plaint à Jésus, on Lui dit : " Où
êtes-vous Jésus ?
Il répond : - Je suis là, Je me
voile afin de me faire chercher par vous que J'aime tant, mes
petites âmes.
Seigneur tant d'âmes crient : -
Je n'ai point d'amour.
Il répond : -
Chère âme, peu importe que vous soyez dans la désolation et dans la
souffrance pourvu que Je sois consolé. Eh bien, Je le suis par vos
épreuves que Je récompenserai en Amour, en Amour plus fort que la
mort. Mon Amour ne peut mourir, il vit dans vos âmes au-delà de la
mort.
Quand on demande la conversion des
pauvres pécheurs, II répond : - L'amour dort dans ces pauvres
âmes, il se réveillera à l'heure de ma divine Volonté. Tout ceci est
permis pour faire mériter mes meilleurs amis, leur peine sera un
réveil d'amour dans l'âme du pécheur, c'est une petite pierre
d'épreuve sur laquelle J'allumerai le feu du repentir suivi d'amour.
Voilà les excès de ma Bonté.
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Le 19 juillet 1934
Le Divin Coeur : - Les peines,
de Coeur Je ne vous les donne que pour vous récompenser. Je ne vous
afflige pas au-dessus de vos forces. S'il n'y avait point eu de
misère la Miséricorde n'aurait point été inventée.
- Je voudrais voir toutes mes
âmes aimantes à recevoir ma Croix les bras ouverts et à genoux, ne
murmurez pas.
- Je le permets, petites âmes,
que vous ne ressentiez rien dans vos âmes, c'est le grand moment du
mérite.
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Le 1er Juillet
Marie-Julie : - Chers ennemis, que vous avez de
charmes pour mon coeur !
- Multipliez vos calomnies, vos
persécutions ; qu'elles soient mon pain de chaque jour, ma joie et
mon bonheur !
- Calomnies et persécutions,
vous êtes des perles enfilées dans le Coeur de Marie et sortant de
la Plaie sacrée de Jésus car II a épousé tout cela pour nous. Vous
êtes des fleurs de grâces, des perles du diadème que vous préparez
pour couronner Madeleine, après le sacrifice que Vous lui demandez.
Je voudrai parcourir le monde pour chercher partout le pain de la
persécution et m'en nourrir. C'est un pain délicieux car il se
trouve sur la table de Jésus et de Marie. Quel trésor ! Il est plus
grand que toutes les richesses et les honneurs de la Terre !
- Chers ennemis, vous tressez ma
couronne et vous détressez la vôtre. Vous me passez vos fleurs. Que
vous me faites du bien, chers petits ennemis. Vous me faites avancer
chaque jour vers Jésus. Combien les calices que vous préparez sont
doux ! On dit que les calices sont amers, moi, je ne l'ai pas encore
trouvé. Chers ennemis, vous ne voyez pas que vous gardez pour vous
les brèches et que vous me donnez le miel !
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