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Préface
de l'éditeur
Ce
livre dévoile les machinations à Rome, surtout de la loge secrète
des francs-maçons qui a introduit et qui a élevé au rang le plus
haut de la hiérarchie l'un des leurs au lieu du représentant de
Dieu. La première édition de cet ouvrage a paru en janvier 1981.
Les
sources de ces informations proviennent d'observations faites à Rome
et dans l'Eglise actuelle, de révélations de saints et de voyants
ainsi que des révélations faites lors d'exorcismes par des démons,
qui ont été obligés de dévoiler contre leur nature et leur volonté
leur œuvre de destruction dans l'Église et dans les âmes.
Des
publications ultérieures parurent sous forme de journaux du même
titre. En complément du livre, ils comprennent aussi des photos de
Paul VI et de son sosie, l'évocation de sa survie, ainsi que le
récit de ma visite chez le cardinal Wojtyla en octobre 1974.
Le
journal contient surtout l'appel urgent pour le salut des âmes des
prêtres, religieux, évêques et cardinaux, qui en trahissant la foi
et les sacrements sont en très grand danger de tomber en Enfer. Leur
sort est bien pire que celui des laïques, car par leur consécration,
ils ont reçu un signe indélébile. Ils nous montrent que la cause
principale de la condamnation est l'orgueil. Comme recours on nous
recommande surtout la vénération des saintes Plaies du Christ.
Dans
le livre «Avertissements de l'Au-Delà» les démons étaient obligés de
disserter par le canal d'une âme expiatrice, possédée depuis plus de
30 ans, sur l'horreur de l'Enfer compte tenu de l'apostasie en masse
actuelle et de la destruction de l'Église par elle-même, déplorée
par le Pape Paul VI.
En
1975, le premier grand exorcisme fut pratiqué avec la permission
épiscopale au lieu d'apparition de Montichiari, en Italie. Malgré
bien des efforts, les démons ne durent pas fuir. Sur l'ordre de la
Mère de l'Église, ils furent contraints d'informer le monde de
l'existence de l'Au-delà. C'était pour l'Enfer une plus grande perte
que s'ils étaient obligés de s'enfuir, se plaignaient les démons,
pendant que les afflictions continuaient chez la possédée.
On
est tenté de se demander s'il faut croire les révélations de démons,
puisque Satan est le père du mensonge. À cela, il faut répondre
qu'en tant que créature, il est soumis à la volonté de Dieu. Lors de
l'exorcisme, les démons n'arrivent pas à échapper par des mensonges
à l'appel de l'exorciste qui les conjure, au nom de Dieu et de Ses
saints, par sa main consacrée de prêtre, l'étole et une relique de
la Croix, de dire uniquement ce que Dieu commande et de se taire sur
tout le reste.
Conjuré par la Sainte Trinité dans l'exorcisme, Satan est forcé de
dire la vérité, comme le déclarait le plus célèbre poète de l'Eglise
avant Augustin, Tertullien, aux débuts de l'Église : «Les démons,
conjurés par un exorciste, n'ont pas le droit de dire des mensonges
à un croyant.»
Le
médecin en chef de la clinique psychiatrique de Limoux en France, le
Docteur M.G. Mouret, a confirmé la possession après avoir examiné ce
cas minutieusement. Des prêtres pieux, des docteurs en théologie et
en droit canon ont assisté aux conjurations et se sont prononcés
pour l'authenticité de cette possession.
Aux
efforts que firent les exorcistes pour libérer la possédée, les
démons ont toujours résisté en affirmant que pour l'époque actuelle
l'expiation et les sacrifices sont de plus en plus urgents. En
outre, pour l'Enfer, c'est un très grand inconvénient d'être obligé
de dévoiler leur œuvre de destruction dans l'Église et dans le
monde.
La
situation de l'Église aujourd'hui et des âmes est extrêmement grave.
Quant
aux attaques contre Paul VI, les démons étaient contraints de dire :
«...Et ils osent attaquer ce Pape, bien que ce ne soit pas lui qui
dirige, mais le faux et ses complices. L'attaque principale de
l'Enfer concerne le Saint Sacrifice et les sacrements.»
Béelzéboul était contraint d'avertir : «Qu'avez-vous fait de Mon
épouse ? C'est ainsi que celui d'En-Haut appelle Son Église. Où
allez-vous et où mène cela ? Vous avez changé de nouveau le mal en
bien et le bien en mal. Vous êtes devenus une Église terriblement
infructueuse qui ne mérite plus le nom d'Église. Elle ne supporte le
nom que par pitié pour ceux qui se réfèrent à l'Église et qui
souffrent, et parce que c'est le Christ qui l'a fondée.»
Quant
à la destruction de l'Église par elle-même, nous sommes arrivés à un
tel point que lors de la visite de Jean Paul II à Genève, le 15 juin
1982, un grand nombre de femmes ont distribué la sainte communion
dans le Palais des Expositions devant les prêtres et les évêques. Le
respect de Dieu a disparu. Tout se tourne autour de l'homme.
Personne ne s'agenouille devant le Dieu Eucharistique que des mains
non consacrées distribuent et reçoivent.
Le 29
septembre 1979, le démon-ange Béelzéboul fut contraint de crier par
la bouche de la possédée du livre «Avertissements de l’Au-Delà» :
«Comme nous sommes maintenant à la fin des temps, et que c'est
l'époque de la confusion, Dieu nous a accordé le droit de tenter
même les âmes privilégiées et les égarer.»
«Examinez tout ; retenez ce qui est bon», nous recommande saint
Paul. Grâce aux nombreuses âmes privilégiées, Dieu nous a fait
savoir que le triomphe le plus grand de Satan à l'époque actuelle
est d'égarer les hommes, même les plus fidèles, par des messages
faux. Le bien est alors présenté comme une erreur et le faux prend
l'apparence de la vérité !
C'est
la raison pour laquelle il faut examiner les âmes privilégiées pour
savoir jusqu'à quand elles étaient encore authentiques et à partir
de quel moment elles ne l'ont plus été, afin qu'on garde le bien et
qu'on oublie le faux.
La
fin des temps se manifeste aussi clairement dans les révélations des
démons du mois d'octobre 1979 et mars 1980 : «Les hommes parlent et
écrivent beaucoup sur la fin des temps et l'Apocalypse. Et
maintenant que nous y sommes, ils ne s'en rendent pas compte.» Et la
Sainte Écriture nous dit : «Je viendrai comme un voleur dans la
nuit. Soyez vigilants !»
Si ce
témoignage arrive à temps ou à contre-temps, pour moi c'est la
volonté et l'ordre de Dieu de proclamer ouvertement la terrible
situation de l'Église, car rien ne peut contre-balancer la valeur
d'une âme immortelle, aujourd'hui en grand danger de se perdre.
Fête
de Saint Joseph, le 19 mars 1983 Bonaventur Meyer
Heureux
ceux qui auront crus