La médaille de Notre Dame de la Bonne Garde
Cette médaille est en rapport étroit avec les révélations reçues par Marie-Julie JAHENNY au cours de plusieurs extases, et rappelle la dévotion particulière que cette pieuse stigmatisée vouait à la vénération de la Croix et à la Très Sainte Vierge qu'elle implorait si souvent au pied de l'antique statue de Notre Dame de La Bonne Garde.
Le texte du verso
Ce texte a été demandé par la Très Sainte Vierge Elle-même, comme pour faire suite à l'entrée de Sa Statue chez Marie-Julie en novembre 1878.
En effet, peu de temps après, voulant secourir Ses enfants de la Terre pour les temps très difficiles qui devaient venir, notre Douce Mère du Ciel, dans l'extase du 16 août 1880, proposait ceci :
" Avec toute la bonté de Mon Coeur et avec toute Ma tendresse, je dirai encore aux pères et aux mères de famille, qu'il serait très bien, et ce serait en même temps une grande grâce, de faire porter aux enfants, petits et grands, une médaille qui n'existe pas, mais que l'on pourrait bien faire, très peu large, comme on voudra. Cette médaille porterait ces mots : "
O vous, Vierge sainte, qui avez écrasé la tête du serpent, gardez notre foi et l'innocence de nos petits enfants.
La Sainte Vierge porte cette médaille sur son Cœur : elle est ronde et blanche.
Il n'est point nécessaire, dit-elle, que cette médaille soit d'un grand prix ; son efficacité sera la même.
Ce sera pour garder l'innocence, en un temps si difficile, quand la corruption se répandra partout. Tout chrétien pourra s'en munir, comme d'une défense et d'une arme de foi.
Avant d’être venue la première fois parler ici, j’étais invoquée sous le nom de Notre-Dame de la Garde, mais j’ai voulu rajouter de la Bonne garde, parce que j’ai en vue de faire des protections si éclatantes que le mot Bonne m’appartient et c’est plus honorable."
Réf 2001